Genre : contemporain
Editions Flammarion
Année 2015
268 pages
Résumé
Eugène, jeune ingénieur français, est envoyé par son entreprise aux Etats-Unis et plus précisément à Détroit, ville en plein déclin après la crise...
Mon avis
Deuxième roman pour cette rentrée littéraire 2015. Après Maladroite d'Alexandre Seurat, j'ai choisi de lire ce roman dont j'avais entendu parler de l'auteur lors de la sortie de l'un de ses précédents romans, Les évaporés mais c'est avec ce roman-ci que je découvre sa plume.
Il était une ville raconte l'histoire croisée d'un jeune homme parachuté à Détroit par son entreprise, d'un adolescent élevé par sa grand-mère et d'un flic qui enquête sur les disparitions. A travers ces trois portraits, l'auteur tisse en filigrane le portrait d'une ville oubliée, d'une ville qui, à cause de la crise, devient presque apocalyptique. Les maisons sont vides, squattées ou brûlées par des adolescents en mal d'occupations.
Seul point commun à ces personnages, la ville de Detroit alors en plein déclin. Décrite avec énormément de précisions, nous sommes spectateurs de la désertion des quartiers dans les yeux d'Eugène qui découvre cette Amérique très loin des paillettes et du glamour.
J'ai lu ce roman comme on lit un livre à la plage ; je l'ai commencé et puis je l'ai terminé sans le poser et cela a été possible grâce au style de l'auteur qui emporte dans ses descriptions dans cette ville décadente. Toutefois, la magie n'a pas pris. J'ai, certes lu l'histoire très rapidement mais je n'ai pas trouvé d'éléments qui m'ont accroché plus que cela. Malheureusement, je pense que je vais très vite oublier ce livre qui pourtant est écrit dans un style très fluide, très beau. J'ai trouvé que les descriptions étaient décousues et qu'elles perdaient leurs sens au fur et à mesure de l'histoire. Ce que j'en retiens, une semaine après l'avoir lu, c'est une certaine langueur et une attente que l'histoire passe. Je n'ai pas forcément trouvé les personnages sympathiques ni l'histoire intéressante ...
En bref, je retiens de ce livre le style de l'auteur qui est très beau même si l'histoire ne m'a pas du tout captivée ni intéressée. Je pense que très vite j'en oublierai le propos... Une déception pour moi même si je découvre un auteur qui a un très beau style.
Il était une ville raconte l'histoire croisée d'un jeune homme parachuté à Détroit par son entreprise, d'un adolescent élevé par sa grand-mère et d'un flic qui enquête sur les disparitions. A travers ces trois portraits, l'auteur tisse en filigrane le portrait d'une ville oubliée, d'une ville qui, à cause de la crise, devient presque apocalyptique. Les maisons sont vides, squattées ou brûlées par des adolescents en mal d'occupations.
Seul point commun à ces personnages, la ville de Detroit alors en plein déclin. Décrite avec énormément de précisions, nous sommes spectateurs de la désertion des quartiers dans les yeux d'Eugène qui découvre cette Amérique très loin des paillettes et du glamour.
J'ai lu ce roman comme on lit un livre à la plage ; je l'ai commencé et puis je l'ai terminé sans le poser et cela a été possible grâce au style de l'auteur qui emporte dans ses descriptions dans cette ville décadente. Toutefois, la magie n'a pas pris. J'ai, certes lu l'histoire très rapidement mais je n'ai pas trouvé d'éléments qui m'ont accroché plus que cela. Malheureusement, je pense que je vais très vite oublier ce livre qui pourtant est écrit dans un style très fluide, très beau. J'ai trouvé que les descriptions étaient décousues et qu'elles perdaient leurs sens au fur et à mesure de l'histoire. Ce que j'en retiens, une semaine après l'avoir lu, c'est une certaine langueur et une attente que l'histoire passe. Je n'ai pas forcément trouvé les personnages sympathiques ni l'histoire intéressante ...
En bref, je retiens de ce livre le style de l'auteur qui est très beau même si l'histoire ne m'a pas du tout captivée ni intéressée. Je pense que très vite j'en oublierai le propos... Une déception pour moi même si je découvre un auteur qui a un très beau style.
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